Les professeurs Rachid Hanifi et Nabila Mimouni, les docteurs Hakima Hamaidi et Karima Hadj Arab ont présenté des communications riches en enseignements, relatives à l’aspect psychologique du dopage, suivies de débats très fructueux entre les participants, dont des étudiants et enseignants de l’Institut des sports. Les débats convergent vers un même objectif : la prévention, la sensibilisation sur les dangers de la pratique des activités sportives au niveau des salles de sports non contrôlées notamment de musculation, culturisme et autres disciplines, avec comme problématique la meilleure façon de contrôler les salles de sports qui incitent leurs adhérents à prendre des produits dopants qui mettent en péril leur santé.
Les organisateurs de cette journée, ont toutefois déplorés l’absence de la majorité des fédérations nationales sportives, à l’exception de celle de natation représentée par son président, Ahmed Chebaraka.
Mme Farida Boussaidene, représentante du ministère de la Jeunesse et des Sports, a informé l’assistance que la tutelle avait lancé un avis d’appel d’offres national et international restreint pour l’acquisition, l’installation et la mise en service d’équipements d’un laboratoire national de prévention et de contrôle antidopage à Alger. Le siège de ce laboratoire se situera au tennis club de l’Office du complexe olympique Mohamed Boudiaf, et sa gestion sera confiée à Toufik Bouzeroura, actuellement directeur du Centre national de médecine du sport de Dély Ibrahim.
