Invité de l’émission DZfoot, Ramy Bensebaïni est le premier international à réagir à l’élection de Kheireddine Zetchi à la tête de la FAF, et il est peut-être le mieux placé pour donner un avis sur le nouveau patron du football national. Le défenseur du Stade Rennais revient sur sa saison chez les Bretons, sur l’élection de Zetchi, et enfin sur l’avenir de l’EN. Concernant son parcours avec Rennes, Bensebaïni dira: «Pour ma saison à Rennes, pour le moment tout va super bien hamdoullah, j’essaye d’enchaîner les matchs et c’est ce que je fais pour l’instant.» Quant à l’élection de son ancien président au PAC à la tête du football algérien, Ramy dira: «Je le connais très bien, j’ai grandi avec lui, c’est comme mon père.
Je lui souhaite de la réussite, là on est tous avec lui, on est tous ensemble et j’espère qu’il aura de bons résultats.. J’ai parlé avec Raïs M’Bolhi et Mehdi Zeffane, c’est vrai qu’ils ne le connaissent pas. Ils m’ont donc demandé qui c’était, je leur ai dit que c’était mon président au Paradou, que c’était un homme bon et sérieux, qui travaille très méthodiquement et avec efficacité.
De toute façon, on sera avec lui pour qu’il réussisse.» L’ancien joueur du Paradou n’oublie pas de féliciter ses ex-partenaires suite à leur accession en Ligue 1: «Franchement, j’ai regardé quelques matchs et j’ai été surpris par leur niveau, ça joue très vite.
Je suis très content pour eux et pour le club, qui est officiellement en L1. J’espère qu’ils vont continuer comme cela, et que les joueurs sortiront pour venir jouer en Europe.» Pour ce qui est de l’EN et de ses premiers pas, le joueur de Christian Gourcuff répondra: «Pour ma première CAN, ce fut compliqué, car on a été éliminés dès le premier tour mais j’ai fait mes deux matchs. Même si j’ai été blessé sur le troisième, j’ai tout fait pour être à 100% et pour aider l’EN à se qualifier, malheureusement ce ne fut pas le cas, mais bon il y a des CAN et des Coupes du monde à venir incha’Allah.
On va tout faire pour s’y qualifier. Pour ce qui est de la Coupe du monde 2018, c’est compliqué car on n’a qu’un point et le Nigeria six, c’est difficile, mais dans le football, rien n’est impossible, on va jouer tous les matchs qu’il reste à 100% en essayant de les gagner