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VISITE DU SECRETAIRE D’ETAT US, JOHN KERRY, EN ALGERIE : Coopération économique et enjeux géostratégiques

Par Elkhadra
5 avril 2014
in flash
Reading Time: 12 mins read
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 1.- Les échanges commerciaux entre l’Algérie et le reste du monde  entre  2012/2013
 Selon le CNIS (Centre National sur l’Information Statistiques des Douanes)  les  exportations en 2013 ont atteint  65,917 mds usd, contre 73,489 milliards de dollars en 2011  et 71,866 en 2012 accusant ainsi une baisse de 8,27%. Quant aux importations, elles se sont établies à 54.852 milliards de dollars US en 2013, contre 47,247 en 2011,  47,490  mds usd en 2012, accusant ainsi une hausse de 8,89%,  auquel il faut ajouter  12 milliards de dollars d’importation de services entre 2012/2013 donnant pour 2013 près de 67 milliards de dollars de sortie de devises. Les hydrocarbures ont représenté l’essentiel des exportations algériennes en 2013 avec une part de plus 96.72% de volume des exportations, soit 63.75 milliards de dollars  en 2013 contre 69.804 mds usd en 2012, accusant ainsi une baisse de 8.67%. Quant aux exportations hors hydrocarbures, elles restent toujours marginales, avec 3.28% du volume global des exportations (2,16 mds usd). Les principaux produits hors hydrocarbures exportés sont constitués du groupe demi- produits avec 1,61 milliards de dollars,  enregistrant une hausse de 5.44% en 2013, des biens alimentaires avec 402 milliards de dollars US en hausse de 27.62 %. En termes de couverture des importations par les exportations, les résultats dégagent un taux de 120% en 2013 contre 143% enregistré durant l’année 2012. Leur répartition par groupes de produits au cours de l’année 2013, fait ressortir à travers des hausses pour les groupes biens d’équipements de 19,69%, biens de consommation non alimentaires de 12 % et les biens alimentaires avec une proportion de 6,18%par rapport à l’année 2012. Quant au groupe des biens destinés à l’outil de production, la valeur des importations est relativement constante autour de 17,4 milliards USD. Les principaux partenaires  à l’exportation en 2013 sont l’Europe 63,32% dont l’Espagne  avec 10,332 milliards de dollars, l’Italie 9,006, la Grande Bretagne 7,193, la France 6,741, les Pays Bas 4,818, la Belgique 2,047  et  le Portugal 1,602. Pour l’Amérique, concernant les exportations, nous avons les USA avec 5,334 milliards de dollars (8,09%) soit une  baisse de plus de 51% par rapport à 2011/2012, montant qui devrait encore baisser entre 2015/2017 du fait qu’en dehors des hydrocarbures l’Algérie n’a rien à exporter , le Canada  avec 3,051(4,63%)  et le Brésil 4,03%). Quant à la Tunisie, le Maroc et le Japon, nous avons  des montants  dérisoires avec respectivement 1,647 milliards de dollars (2,50%), 1,051 (1,59%), 1,037 (1,57%). En ce qui concerne les importations ,  l’Europe vient toujours en tête  avec la France 6,250 milliards de dollars (11, 39%) devancée par la Chine pour la première fois avec 6,820 milliards de dollars (12,43%) , l’Italie 5,646  (10,29%),  l’Espagne 5,078( 9,26%) , l’Allemagne 2,869 (5,22%),  la Grande Bretagne , 1,175 (2,38%) les pays Bas (1,119 ( 2,04%) , la Turquie 2,075 (3,79%) , la Russie ( non compris les  dépenses militaires 1,017 ( 1,85%)  soit au total 46,22%. Pour l’Amérique concernant les importations,   nous avons les Etats Unis d’Amérique avec un montant relativement faible  de 2,355 milliards de dollars (4,29%),  l’Argentine 1,737 (3,78%). Quant à l’Asie nous avons le Brésil 1,321 milliards de dollars, l’Inde, 1,305 (2,41%) la Corée du Sud 1,123 (2,04%) le Japon 1,001 (1,82%).Cependant,  pour le cas algérien,  s’il y a  un équilibre tant macro-économique que macro-social  c’est  un équilibre relatif.  Le taux de croissance que ce soit celui du produit intérieur brut, du taux d’inflation ou du taux de chômage se calcule par rapport à la période précédente. Il faut impérativement corriger le salaire nominal par l’évolution des indices des prix à la consommation qui sont historiquement datés   (les besoins évoluant) et corriger le PIB par l’évolution des indices à la production. Il ne faut jamais raisonner à prix courants mais toujours à prix constants. Le PIB est un indicateur imparfait qui voile les disparités  sectorielles  et surtout les inégalités dans la  répartition du revenu national influant sur le modèle de consommation. En Algérie, il  existe une concentration du revenu au profit d’une minorité de couches rentières  qui ne sont pas des entrepreneurs tournés vers l’investissement productif. Il est  souhaitable de lui substituer l’indice de développement humain que préconise le PNUD incluant la santé et l’éducation et les effets nocifs de la détérioration de l’environnement. Par ailleurs, un taux d’inflation faible en 2013 en référence à un taux d’inflation élevé en 2012 donne un taux cumulé élevé, idem pour le taux de chômage. Pour  le taux d’inflation officiel, il est  compressé par les subventions  qui dépassent   les 20 milliards de dollars en 2013. Le premier Ministre algérien a déclaré officiellement  que subventions et transferts sociaux représentent 30% du produit intérieur brut(PIB)  soit environ 70 milliards de dollars. Cela ne peut durer car ces subventions  généralisées sans ciblage  sont à la  fois source d’injustice sociale, d’inefficacité économique   et  freinent  le développement du tissu productif local.  Comme pour le taux de chômage, il y a prédominance des emplois/rentes, des versements de traitements sans contreparties productives pour calmer transitoirement le front social,  notamment dans l’administration, des emplois temporaires non productifs  sans compter les sureffectifs dans les  entreprises publiques économiques. Lorsqu’on sait que l’assainissement des entreprises publiques en Algérie a coûté au trésor public plus de 50 milliards de dollars entre 1971-2013, sans résultats probants, 70% des entreprises publiques étant revenues à la case de départ alors que ces montants auraient pu être consacrés à la création de nouvelles entreprises dynamiques de quoi créer tout un nouveau tissu productif et des millions d’emplois à valeur ajoutée.  Concernant le PIB, 40% relève des hydrocarbures en calcul statique. Mais  en réalité plus de 80%  puisque les secteurs  du bâtiment travaux publics hydraulique (BTPH) moteur de la croissance actuelle ayant mobilisé plus de 70% des 600 milliards de dollars ( part dinars et devises) de la dépense publique entre 2000/2013  , le capital argent provenant des hydrocarbures. Pour preuve  en 2013 , environ 97% comme mis en relief précédemment,  des exportations relèvent des hydrocarbures à l’état brut et semi brut  ayant permis d’engranger 665 milliards de dollars de chiffre d’affaire (à ne pas confondre avec le profit net  de Sonatrach devant déduire les charges ) entre 2000/2013 et important 70% des besoins des ménages  et des entreprises publiques et privées dont le  taux d’intégration ne dépasse pas 15%. Normalement, le taux de croissance  aurait du être supérieur à 10% : mauvaise gestion, mauvaise allocation des ressources financières, les infrastructures au détriment de l’entreprise et son soubassement le savoir,  ou corruption, le problème est posé.

 2.- Poids  des USA et de l’Algérie dans l’économie mondiale ?
D’après les chiffres du département américain du Commerce,  les exportations de marchandises pour 2013 atteignent 1.590 milliards de dollars, et les importations, 2.293 milliards, soit un total de 3883 milliards de dollars, représentant près de 300% de l’Algérie, derrière  la Chine, sur la même période, où le commerce de marchandises totalise 4 160 milliards de dollars, dont 2210 milliards de dollars d’exportations. Si la Chine est le premier ¬exportateur mondial de marchandises depuis 2009, les États-Unis restent, tous échanges confondus (biens et services), la première  puissance mondiale. Pour les relations commerciales entre l’Algérie et les USA,  il faut comparer le  comparable. Le PIB des USA qui passe de 16724 en 2012 à 17438 en 2014  pour une population  de 316,668 millions d’habitants sur un total de la population, mondiale estimée à   7,071 milliards avec un PIB par habitant  de 52.839 dollars par habitant. Cela représente respectivement 23,28% du PIB mondial en 2012  estimé à  71830  milliards de dollars  et 23,59% en 2013 pour un PIB mondial estimé à  73.913  et qui devrait tendre fin  2014 à environ 76574 milliards de dollars selon les projections du FMI. Si l’on prend les chiffres officiels du gouvernement  souvent  repris  par le FMI  avec de légers redressements,   le produit intérieur brut  algérien pour une population d’environ 39 millions d’habitants  a été de 215 milliards de dollars  en 2013 contre 208 en 2012.  En fait le PIB algérien représente 1,63% des USA et environ 10% du PIB par tête habitant.  Pourtant, des perspectives commerciales s’offrent ente les USA et l’Algérie en dehors des hydrocarbures, l’Algérie étant avant tout intéressé par le transfert du savoir faire technique et managérial avec la présence d’importantes sociétés américaines, devant impulser la coopération notamment dans le domaine des nouvelles technologies, de l’industrie, les services, l’agriculture et le BTPH sans oublier la formation. Récemment, en dehors des hydrocarbures où les USA sont présents, le dernier contrat en date est celui signé en 2013 entre le groupe Sonelgaz et le groupe américain General Electric (GE) qui vont réaliser en partenariat un complexe industriel de fabrication de turbines à gaz en Algérie pour un investissement de 200 millions de dollars. Cette société, qui sera détenue à 51% par Sonelgaz et 49% par GE, produira à partir de 2017 entre six à dix turbines à gaz par an, soit une capacité de 2.000 MW, dont une partie pourrait être exportée. Par ailleurs, GE a remporté un marché de fournitures de turbines à gaz et à vapeur d’une capacité de 8.400 MW pour un montant de 2,2 milliards de dollars, destiné à équiper les six centrales électriques que l’Algérie prévoit de construire d’ici à 2017. Mais l’on ne doit pas oublier  qu’horizon 2017 les  Etats-Unis d’Amérique seront un  concurrent énergétique de l’Algérie. La sécurité énergétique constitue le poumon de la stratégie tant économique que militaire. Selon les données de l’Agence Internationale de l’énergie (AIE), le monde importait chaque année pour 500 milliards de dollars en pétrole en moyenne entre 1990 et 2010. En 2012, cette valeur est multipliée par quatre pour atteindre 2 000 milliards de dollars par an, soit 5,5 milliards de dollars par jour.  Les USA importaient entre 2011/2012 près de 20% de leurs besoins en énergie principalement du Mexique du Venezuela, des pays du Golfe, de certains pays d’Afrique dont le Nigeria et l’Algérie. Quel sera donc l’impact du rebond récent de la production américaine de pétrole et de gaz, menée par des essors technologiques qui permettent d’extraire » ces ressources non-conventionnelles, comme la fracturation hydraulique  qui a permis en cinq ans, aux États-Unis de réduire leurs importations de pétrole et de gaz respectivement de 15 et 32% ? Le développement des ressources non conventionnelles aux Etats-Unis, gaz et huile de schiste, ont un impact majeur sur les prix. Le gaz coûte aujourd’hui 2,5$/MBtu aux USA, et les Etats-Unis payent leur gaz six fois moins cher que la vieille Europe où le produit fossile est indexé majoritairement sur les cours du pétrole, cette indexation étant de plus en plus remise en cause, nécessitant une adaptation pour Sonatrach. Les USA et l’Europe misent également sur les économies d’énergie, l’objectif étant un mix énergétique en développant parallèlement les énergies renouvelables, notamment en Europe et pour les USA, la majorité des démocrates y sont favorables contrairement aux républicains. Et dans le même temps, les Américains consomment de moins en moins de pétrole ( 9% de moins qu’en 2007), ce qui est lié à la fois à la crise économique des dernières années, à la forte hausse des prix des carburants et au fait que les Américains commencent à échanger leurs 4X4 contre des voitures plus petites et beaucoup plus économes. Selon le ministère américain de l’Energie, en février 2013, la production aurait dépassé les 7 millions de barils par jour, soit une hausse spectaculaire de 16% en un an. L’augmentation de la production est telle que l’Agence Internationale de l’Energie (IEA), dans son dernier rapport annuel («World Energy Outlook»), paru le 12 novembre 2012 prévoit que les Etats-Unis deviendront entre 2017/2020 le premier producteur mondial de pétrole devant l’Arabie Saoudite et la Russie .  L’autosuffisance énergétique annoncée de la première puissance mondiale aura sans nul doute des conséquences géopolitiques mondiales. En premier lieu, la politique américaine au Proche et Moyen-Orient subira probablement quelques infléchissements stratégiques dans la mesure où le facteur «dépendance énergétique» ou plus précisément, «sécurisation des accès et de l’approvisionnement en énergie» deviendra moins sensible. Cela entraînera une redéfinition des objectifs nationaux américains, où  les Etats-Unis, qui étaient les plus grands importateurs de pétrole au monde, n’avaient pas hésité à déclencher ou favoriser des guerres ou conflits  en Afrique, au Proche et Moyen-Orient ou en Amérique Latine, dans le but de sécuriser leur approvisionnement en énergie. Désormais bientôt autosuffisants, leur interventionnisme dans ces régions, dont l’Algérie,  se fera en fonction de nouvelles considérations et notamment de celles liées à l’influence grandissante de la Chine. Cette nouvelle donne ne peut qu’entrainer de profonds bouleversements géostratégiques tant politiques qu’économiques notamment sur l’économie algérienne. Le développement des gaz non conventionnels en Amérique du Nord a fermé ce marché aux exportations algériennes à partir de 2009 et pesé sur les cours (marchés spot), ce qui pose la question de la rentabilité des exportations de GNL. Le «prix rentable» du MBTU, l’unité de mesure de l’industrie gazière, serait pour la Sonatrach de 9 à 11 dollars pour le gazoduc et de 13 à 15 pour le GNL. En perdant le marché américain, les recettes de Sonatrach provenant des USA fluctuant entre 15/20 milliards de dollars par an selon les cours mondiaux, où l’Algérie comblera-t-elle différentiel de ses exportations d’hydrocarbures ? Dans un rapport publié par The Wall Street Journal le 06 juillet 2013, citant l’Administration US de l’énergie et de l’information où pour un dollar perdu, l’Algérie perd l’équivalent de 800 millions de dollars par an, les exportations du Nigeria et de l’Algérie à destination des Etats-Unis ont fortement  diminué de moitié entre avril 2011 et avril 2012. Les exportations du Nigeria vers les USA ont chuté de 16% pour s’établir à seulement 12,2 millions de barils, alors que les exportations de l’Algérie ont connu un recul de 38%, s’établissant à 4,8 millions de barils, ce qui explique la chute des exportations algériennes vers les USA mises en relief précédemment. Et le marché naturel étant l’Europe avec la concurrence notamment du géant russe Gazprom, (expliquant le gel du gazoduc via Italie Galsi) de l’entrée de nouveaux concurrents dès 2017, qu’en sera-t-il si la crise mondiale persiste, car ce n’est pas seulement une question d’offre mais de demande et surtout de coût pour être compétitif, pouvant découvrir des milliers de gisements non rentables par rapport aux valeurs internationales ? L’Algérie qui a des unités de GNL de moyennes dimensions avec des coûts relativement élevés par rapport à ses concurrents, nécessitant d’importants coûts de transport pourra t- elle concurrencer pour approvisionner l’Asie, la Russie, l’Iran et le Qatar ?
 
 3.- La visite de John Kerry s’inscrit  dans le cadre géostatique et sécuritaire de la région
La visite du secrétariat d’Etat US, John Kerry,  s’inscrit surtout  dans le domaine  stratégique et non en vue de soutenir tel ou tel candidat, toute déstabilisation de l’Algérie ayant  des répercussions sur tout le Moyen Orient et l’Afrique. Les USA ne connaissent comme tout grand Etat que leurs intérêts  et en politique comme dans la pratique  des affaires, il n’ ya pas de sentiments. L’on a abordé nécessairement  les tensions au Sahel,  les relations  apaisées  auxquelles les USA accordent une importance stratégique  entre l’Algérie et le Maroc, dont du Sahara Occidental,  et surtout les perspectives des réformes économiques et politiques  en Algérie comme condition  de la stabilisation, dépassant le statut quo actuel qui inquiète tant  la Russie, l’Europe  et les  USA. Le nouveau directeur du FBI, James Comey a affirmé le 14 novembre 2013  devant le Congrès qu’Al Qaida au Maghreb Islamique (Aqmi) constituait une ’’forte menace’’ aux intérêts américains et occidentaux dans la région de l’Afrique du nord et du Sahel, ajoutant que ce groupe a démontré sa capacité à cibler ces intérêts à travers les enlèvements contre rançons essentiellement. Pour le  directeur du Centre américain du contre-terrorisme, Matthew Olsen, dont les services dépendent du Directeur du renseignement national des Etats-Unis (DNI), devant la commission sénatoriale que si l’intervention militaire conduite par la France au Mali a permis de chasser Aqmi et ses alliés des villes qu’ils contrôlaient auparavant, ces groupes arrivent, cependant, à trouver refuge dans les zones les moins peuplées du nord du Mali et en, Lybie, et continuent à commettre des attaques de représailles. Un rapport  du Forum économique mondial ( WEF) en date également du 14 novembre 2013  révèle que  fortement secoués depuis deux ans par des crises politiques à répétition, les pays d’Afrique du Nord, dont fait partie l’Algérie, est une source d’inquiétude pour le monde. En effet, la guerre en Syrie et la polarisation des sociétés en Afrique du Nord figurent en tête des « préoccupations des décideurs pour 2014. Les relations entre l’Algérie et les Etats-Unis rentrent dans le cadre de ces préoccupations. Elles ont pris une telle intensité que les dirigeants des deux pays ont décidé de les structurer dans un cadre formalisé et de conférer un caractère régulier aux concertations bilatérales, pour une meilleure organisation et visibilité des rapports entre les deux pays. C’est dans cet objectif que le dialogue stratégique Algérie-USA a été établi et dont la première réunion s’était tenue en octobre 2012 à Washington, après la 5ème session du Dialogue militaire conjoint algéro-américain. Les Etats-Unis considèrent ce dialogue stratégique comme « le fondement » sur lequel les Etats-Unis et l’Algérie ambitionnent le renforcement de leurs relations futures dans les domaines politique, économique, culturel, scientifique et sécuritaire. Ce rapprochement entre l’Algérie et les Etats-Unis se traduit donc par la convergence de vues sur des dossiers d’intérêt régional et international. Les USA reconnaissent que l’Algérie est la puissance militaire et économique dominante dans la région du Maghreb. Elle représente un partenaire-clé des Etats-Unis dans la lutte contre le terrorisme, selon un document composé de 6 chapitres du service de recherche en sécurité du Congrès américain qui traitent essentiellement la question du gouvernement et de la politique en Algérie. Abordant les relations entre l’Algérie et les Etats-Unis, le rapport note  que l’Algérie est un pays de plus en plus important dans les efforts américains pour lutter contre le terrorisme international et représente un partenaire-clé dans la lutte contre les groupes liés à Al Qaîda. Les USA qui ont une stratégie planétaire qui ne se différencie pas fondamentalement de celle de l’Europe (existant certaines divergences tactiques) avec pour fondement ses intérêts économiques insistent sur l’intégration du Maghreb, sous segment du continent Africain dont le contrôle économique à travers les rivalités notamment de la Chine constituera un enjeu majeur du XXIe siècle. Les récents événements en Egypte, en Libye, au Mali, au Sahel, en Syrie (les importantes découvertes pétrole et surtout gaz en méditerranée expliquant les divergences USA-Russie) et la sécurité d’Israël à laquelle les USA accordent une importance stratégique préfigurent d’importantes recompositions géostratégiques au niveau de la région avec certainement un apaisement des tensions, avec l’Iran grand producteur pétrolier et recelant plus de 15% des réserves mondiales de gaz naturel. Les USA entendent jouer un rôle majeur dans cette reconfiguration et l’Algérie, sous réserve d’une meilleure gouvernance et plus de réalisme dans les nouvelles relations internationales, est un acteur incontournable pour la stabilisation de la région. Bon nombre de projets en commun, permettant le transfert du savoir faire technologique et managérial, en dehors des hydrocarbures brut et semi brut peuvent être initiés entre l’Algérie et les USA comme facteur de stabilisation.  La puissance d’une Nation n’a jamais été fonction d’une rente éphémère mais se mesure au poids de son économie productive fonction d’une planification stratégique tenant compte de la mondialisation, processus non encore achevé et d’une nouvelle donne, la protection de l’environnement. Cela pose, pour l’Algérie,  la problématique de la transition d’une économie de rente à une économie hors hydrocarbures elle même tributaire d’une bonne gouvernance et de la transition énergétique prenant en compte la forte consommation intérieure, (risquant d’atteindre horizon 2020/2025, le même niveau que les exportations actuelles) reposant sur l’entreprise et son fondement le savoir.

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